“‘Why, I feel all thin, sort of stretched,if you know what I mean: like butter that
has been scraped over too much bread. […]’” (The Lord of the Rings, I, 1)
Sydney c’est fini, nous voilà à Newcastle chez une jeune maman d’une trentaine d’années très sympa. Une maison très agréable malgré l’apparition occasionnelle de blattes… yew ! Enfin, le travail n’est pas trop dur : du ménage et du léger jardinage ainsi que – très important – manger les mangues du jardin qui envahissent le frigo !
Sydney c’est fini, nous voilà à Newcastle chez une jeune maman d’une trentaine d’années très sympa. Une maison très agréable malgré l’apparition occasionnelle de blattes… yew ! Enfin, le travail n’est pas trop dur : du ménage et du léger jardinage ainsi que – très important – manger les mangues du jardin qui envahissent le frigo !
Pas trop dur… jusqu’à ce qu’Heather nous propose de
repeindre la buanderie. En soit rien de bien effrayant, la pièce est très
petite. Mais quand arrive le matériel, le cauchemar commence. Le sentiment de
Bilbo qu’il compare à la tartine de beurre pourrait s’appliquer à la quantité
restante de peinture dans les pots ! On commence par le plafond : pas
assez de peinture. On veut recouvrir le cadre de fenêtre de scotch : pas
assez de scotch. Les murs : il n’y aura pas assez pour les trois couches
nécessaires et quand on nous en ramène, ce n’est pas la bonne couleur ! Et
la peinture pour les cadres de fenêtre et de portes : une vraie plaie, qui
ne se rince pas à l’eau et OH ! Surprise : Nous n’avons pas de White
Spirit ou équivalent ! Rest in peace
petit pinceau…
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